Si loin de nous, à la frontière de la Guyane Française et du Surinam, Prince Koloni, descendant de Marrons, ces esclaves auto-libérés, signe un premier opus sobre et délicat. Chapelet des rythmes qui l’accompagnent depuis son enfance (aléké, kaseko, bigi pokoe, reggae…), cette introduction affirme tout en simplicité le talent et l’aisance de ce galérien de la vie. Prince Koloni – il fut orpailleur avant de se consacrer uniquement à la musique – sait extraire la pépite. Authentiques, innocentes et surtout universelles, ses treize chansons portées par une voix sans artifices, cultivent un sentiment de proximité qui pourrait très bien nous rendre très familier cet album enregistré si loin de nous.
par Squaaly
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Después del EP “Runaway” que la situó como una de las voces Reggae Soul del momento, ahora se presenta íntegramente con su disco debut “My Type O Smoove”. El single “Cool Down”, extrañamente ubicado casi al final del álbum, expone a una mujer independiente y explosiva, mandando a la punta del cerro al ex novio. Esta descripción calza con Marlene, criada en una base militar yanqui ubicada en Alemania, es una mujer autónoma en la vida y versátil en lo musical. Tan versátil, que no se le asocia al Reggae hasta el 2005, año en que logra un exitazo con “We A Warriors” en colaboración con Marlon B. Como mencionamos antes, al hit le sigue el EP “Runaway” y hoy la musa del Reggae Soul se presenta con catorce tracks, su primer trabajo solista que cuenta con una producción musical impecable a cargo de los austriacos House of Riddim. Los mismos que un hace un tiempo musicalizaron el notable disco debut de Jah Meek (otro artista para poner ojo) quien reclutaría a Marlene en coros, hoy catapultan la carrera artística de Johnson y la acompañan en su gira europea instrumentalizando el “My Type O Smoove”. En sus reiteradas visitas al estudio austriaco, Marlene logró, además de terminar su primer disco, grabar material para una segunda placa que no sería de Reggae. Esto lo mantiene en reserva hasta haber lanzado y tocado este primer álbum que se encuentra a la venta en las disqueras desde mediados de abril. Big Up!
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Note :

 
Après Pink Floyd et Radiohead, c'est au tour de Police de connaître son album de reprises version Dub. Différents chanteurs, une production de qualité et de très beaux arrangements au programme de cette release...Le projet Police in Dub a commencé en Allemagne en septembre 2006 mais a visiblement pris du retard à cause de la négociation des droits d'auteur auprès du management de Sting, propriétaire des droits des chansons de Police. C'est finalement le label Allemand Echo Beach (les compils King Size Dub, les compils French Dub Connection et très récemment DubMatix) qui a sorti l'album au mois de mai 2008. Vous aurez donc compris que DubXanne est plutôt une sorte de collectif de musiciens auquel s'ajoutent différents chanteurs tels Ranking Roger, Earl 16, Eased (chanteur de Seeed, groupe de reggae allemand), Big Youth, Jazz'Min et Benjamin Zephaniah. Mais trêve de blabla, allons donc droit à l'essentiel et appuyons vite sur Play : L'album commence par Walking On the Dub, une version instrumentale de Walking on The Moon, complètement réarrangée, qui alterne superbement bien les périodes calmes ou plus rythmées, un son très aérien, des chœurs féminins qui nous viennent tout droit de l'espace, des effets en pagaille, le son est bien travaillé, la guitare est très proche de l'originale, bref très bonne entrée en matière. On enchaine sur DubXanne, reprise de Roxanne avec Eased au chant. Un début de morceau très proche de l'original qui va se dubber au fur et à mesure, avec l'arrivée d'un mélodica et des reverbs. La voix est parfaite, Eased nous montre l'étendue de son potentiel variant d'une voie très grave a une voix très aiguë. Can't stand losing Dub est également une instrumentale, qui comme le 1er morceau est un très bon mélange entre des sonorités complètement copiées de l'originale mais avec des ajouts qui en font un morceau différent. Une très belle section cuivres (trombone, trompette, saxo) également. J'ai cru entendre du Groundation par moment...puis j'ai remarqué que le bassiste, Marcus, a participé à Dub War, étrange coïncidence... Puis vient The Bed's too big without Dub avec Ranking Roger. L'original est je pense moins connu de nous tous. Ici Ranking Roger a profité du peu de paroles de la version de Police pour y ajouter son propre texte, et seuls les chœurs rappellent le refrain de l'original. Une fois de plus la voix est très bonne ! Driven To Dub est un pur mélange de styles, avec un synthé et une mélodie des chœurs qui sonne vraiment années 80, une caisse claire des années 90 et un mixage des années 2000. C'est ensuite Earl 16 qui nous reprend Message in a Bottle. Les montées de ce morceau sont extras, avec des nappes de synthés, des voix, des filtres, belle réussite et encore un son très aérien. Une percussion fait même son apparition. J'avoue ne pas connaître l'original de Once Upon a Dubdream. Cette version, plutôt steppa, sors un peu moins du lot. A noter tout de même encore une jolie partie de mélodica et des sonorités synthés vraiment années 80. Spirits in a Material World est à la base une version presque ska. La reprise de DubXanne se démarque surtout par la voix de Benjamin Zephaniah. Mr Zephaniah est un poète rasta anglais qui dicte ses poèmes sur de la musique. C'est également un peu ce qu'il fait sur cette version, son chant est très posé, sa voix pleine de corps ! Big Youth apparait ensuite sur So Dub, reprise de So Lonely. Encore une fois, le son de guitare est le même que celui de Police. Le piano est également très aérien et la voix de la choriste magique. Cette version est très posée mais un peu frustrante, Big Youth aurait pu la rendre terrible avec son flow. L'album se finit par un Dub On the Night très mélancolique, avec de la guitare acoustique, du piano et du mélodica, un très beau morceau d'outro ! Une chose remarquable sur cet album est la qualité de production : le mélange entre les synthés de l'époque et les sonorités actuelles est parfait, le disque est très homogène. Je précise que le mixage est réalisé par Nicolai Beverungen , le fondateur du label Echo Beach. De plus la touche Police est là, parfaitement dosée pour reconnaitre les morceaux mais pas trop pour pouvoir laisser la place au nouvel arrangement. Ce sont à la fois des reprises et des ré-interprétations. Les voix des différents MCs présents collent également très bien aux riddims, et le tout est plutôt bien varié. Bref, pour conclure, un bon album de dub, et un très bon album de dub pour les fans de Police.
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Banda de Guadalajara, fundada a mediados del 2001. Desde entonces ha actuado en diversos festivales, así como en los circuitos de bares locales. Entre el 2004 y 2005 graban su primer álbum, Vibra el Árbol, producido de manera independiente. Este álbum es una buena muestra del estilo propio que este grupo mexicano ha desarrollado, con una particular mezcla de reggae, afrobeat, ska, y ritmos latinos, consiguiendo un bite roots con personalidad.
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Note :