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19 mai 2011 4 19 /05 /mai /2011 13:30

http://vis-soft.net/uploads/posts/b05/b05cf_.jpg

http://www.bookert.com

Origine du Groupe : North America
Style : Funk , Soul
Sortie : 2011

Par momo1951 pour http://fun1959.canalblog.com

Rien de révolutionaire à attendre bien sûr, mais, accompagné de Dennis Coffey à la guitare et avec la participation de Sharon Jones, Matt Berninger (The National), The Roots, Lou Reed et d'autres encore, on obtient ici, et de façon inattendue, un album vraiment solide et excellent.


Tracklist :
01. Walking Papers 3:14
02. Crazy 3:05
03. Progress (Feat. Yin Yames Of My Morning Jacket) 3:19
04. The Hive 3:48
05. Down In Memphis 3:51
06. Everything Is Everything 4:35
07. Rent Party 3:58
08. Representing Memphis (Feat. Matt Berniger & Sharon Jones) 3:29
09. The Vamp 3:22
10. Harlem House 3:50
11. The Bronx (Feat. Lou Reed) 4:38

mp3

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18 mai 2011 3 18 /05 /mai /2011 16:00

http://4.bp.blogspot.com/_HSfm2wr1maU/Sw6SlXn6DTI/AAAAAAAAAOo/5MpP7Kv7Sh8/s1600/Ibrahim-Electric-Meets-Ray-Anderson-Again-2008.jpg

http://www.myspace.com/ibrahimelectric

http://fr.wikipedia.org/wiki/Ray_Anderson

Origine du Groupe : Danemark , North America
Style : Funk , Jazz
Sortie : 2007

Par http://www.citizenjazz.com

Ray Anderson est un tromboniste né à Chicago en 1952 qui, parfois, quand il ne vocalise pas, s’empare d’un tuba. Il remplaça son ami de lycée et concitoyen, George Lewis, au sein du quartet d’Anthony Braxton en 1977 et nourrit depuis de nombreuses années une fructueuse collaboration avec ces figures de l’avant-garde que sont Mark Helias et Gerry Hemingway au sein du trio BassDrumBone.

Ces quelques élément de biographie pourraient aisément faire croire que ce musicien est un défricheur parcourant les austères contrées de l’avant-garde. Seulement voilà, celui qui a joué aussi avec le Rivbea Orchestra de Sam Rivers et le quintet de David Murray, ainsi qu’avec le quartet de Louis Sclavis, est également le garçon qui a fondé un groupe de funk, les Slickaphonics, avec lequel il a longtemps tourné, notamment dans les grands festivals européens et dont le batteur Jim Payne, icône du « funk drumming » n’est autre que le producteur des meilleurs albums du célèbre trio Martin, Medeski et Wood ! Et c’est ce même tromboniste que nous retrouvons aujourd’hui en compagnie d’un trio danois qui place son travail sous le signe du jazz certes, mais aussi du rock, de l’afro et… du funk - ce qui tend à prouver que nous serions, avec cette rencontre américano-danoise, plutôt du côté de la nécessité que de celui du hasard.

Le rapide examen du pedigree de nos trois Danois le confirme. Penchons-nous sur le cas du batteur, Stefan Pasborg, qui, bien que jeune trentenaire, est le plus avancé dans la carrière ; il est déjà couvert de lauriers et on se souvient du formidable Toxikum paru chez Ilk en 2003, où brillait un Marc Ducret aussi à l’aise, libre et explosif qu’au sein de son trio. (Ce disque était remarquable à bien des égards, et la chanteuse Camille a dû l’écouter car une des plages était introduite par des barbotements et des coin-coin ce qui éveillera des souvenirs chez les fans de Music Hole…) Mais quittons les canards et revenons à nos moutons, en l’occurrence le trombone, instrument qu’on pouvaitt entendre, quoique discrètement, plus comme apporteur de couleurs que comme soliste, sur la dixième plage de ce Toxikum, l’emploi de cet instrument étant insolite, dans un opus aussi post-moderne, urbain et électrique. Par ailleurs, et pour en finir avec ce disque (dont la qualité justifiait une longue évocation), on se souviendra du côté exubérant et joyeusement fantasque du co-leader, le souffleur lituanien Liudas Mockunas. Sur ce disque un peu foutraque on trouvait peu de traces de funk mais une grande modernité, une diversité d’atmosphères, un travail sur le son via la recherche de couleurs inédites…

Il apparaît donc qu’au moins deux des musiciens de ce disque aiment le risque, l’exploration, la nouveauté, et sont des créateurs, tout en ayant un pied dans les musiques binaires et dansantes… Le plus modeste élément de notre triptyque scandinave est Jeppe Tuxen qu’on trouve ici derrière un orgue Hammond auquel il ne dédaigne pas d’appliquer de nombreux effets. Pas encore, semble-t-il de disque en leader, pas de composition créditée. Parmi ses expériences récentes, on trouve des participations à des groupes de pop-rock danois dont celuis de Rasmus Nǿhr en compagnie d’un certain Niclas Knudsen...

Si le tromboniste et le batteur sont les deux pointures qui retiennent d’emblée l’attention, il ne faudrait pas reléguer ledit Knudsen, guitariste, dans une ombre qui ne sied pas à celui que la pochette du disque crédite de sept des huit compositions. Ce crédit cependant à provoqué un haussement de sourcils à Citizen Jazz puisque la première plage, soi-disant knudsienne, n’est autre que « Funkorific » qui est pourtant de Ray Anderson, excellente composition apparue sur le disque éponyme paru chez Enja en 1998, avec une composition d’orchestre très proche, l’ajout d’une basse étant la seule différence (l’orgue y étant sobrement mais magnifiquement tenu par Amina Claudine Myers)… Il est à craindre que le rédacteur de la pochette n’ait confondu compositions et arrangements, ceux-ci étant effectivement du guitariste danois, mais passons. L’important est que ce projet soit essentiellement écrit par Knudsen, qui fit ses armes à la prestigieuse Berklee School, et qu’on a déjà vu au sein de groupes menés par Dave Liebman ou Adam Nussbaum. C’est un personnage intéressant, d’un éclectisme époustouflant puisque, outre ses activités rock et jazz, il participe régulièrement, sur des instruments « ethniques », à des concerts de musique indienne ou cubaine, et qui est donc l’auteur de six des huit titres de cet Again.

Le nom de cet album l’indique, cette rencontre avec Ray Anderson a déjà eu lieu ; elle a d’ailleurs donné un enregistrement publié par Stunt en 2005. C’était aussi un live dans la même bonne ville de Copenhague. Aucun des thèmes de cet enregistrement initial ne se retrouve ici. En revanche cinq des huit titres sont repris du précédent album en trio, Absinthe, ce qui offre au chroniqueur la perspective d’intéressantes comparaisons et incite à l’écoute.

On commence par « Funkorific » : au début, on se dit que ce funk n’a rien d’horrifique, jusqu’à l’entrée en scène du souffleur : l’unisson avec la guitare électrique provoque un curieux mélange qui donne à la sonorité déjà très robuste et cuivrée du trombone une couleur éclatante de cor de chasse. Cet énorme son n’est pas le fait du hasard mais d’un bricolage de la clé de pouce de l’instrument qui permet d’en élargir la tessiture et, semble-t-il, d’en grossir le son. Formidable entrée en matière qui permet d’admirer l’évidence de la formule et son fonctionnement huilé : une rythmique ultra-énergique avec une ligne de basse moins basique que celles souvent proposées par le pédalier des organistes, drumming urgent, viscéral mais cependant très raffiné, exubérance du trombone, sorte de gros et jeune toutou, tout fou, plein de joie et pataud, qui renverse tout sur son passage, et savoureux contraste quand le toutou se couche sur son tapis pour laisser les projecteurs se braquer sur le guitariste, qui sait construire un solo en le commençant dans la retenue, pour le terminer dans la braise. On aurait aimé être dans la salle et faire partie de ce public qu’on devine jeune, souriant, criant, bougeant, trépignant quand Stefan Pasborg se fend à son tour d’un solo qui ne laisse jamais retomber l’élan enthousiasmant du morceau.

Sur « Splash » la deuxième plage, plus de trace du gros toutou pataud ! Peut-on jouer du trombone le sourire aux lèvres ? La réponse de Ray Anderson est oui ! Quel enjôleur, cet Américain ! Humour et clin d’œil sur cette grille de blues à peine démarquée du « Green Onions » de Booker T & The MG’s, jouée avec une lourdeur volontairement parodique. On pouvait déjà entendre ce « Splash » sur Absinthe. Le rôle de soliste y est assumé par la guitare et par l’orgue d’une manière bluesy beaucoup plus conventionnelle, agréable, énergique mais pratiquement inécoutable une fois qu’on a goûté à la saveur qu’y apporte la virtuosité rigolarde de Ray Anderson et l’énergie irradiée par le public.

Si « Red Room » est un intermède assez quelconque tenant de la musique de salon, avec « Lobi », autre titre tiré d’Absinthe, on respire un parfum d’Orient, dû sans doute au goût de Niclas Knudsen pour les explorations ethniques (voir l’énigmatique nom du groupe). Un « Arabian Boogaloo » entendu sur Absinthe creusait déjà cette veine. C’est donc d’Orient qu’il s’agit, mais un Orient bien groovy, motorisé par la grosse voix du trombone qui, une fois de plus, fait dans le déjantage et l’extraverti, cet homme n’étant décidément pas capable de rester sérieux plus de deux minutes, pour le plus grand plaisir du public.

Ce public, parlons-en. Il vient jouer le rôle du cinquième homme sur « Blue Balls » en ajoutant ses claquements de main au solo du tromboniste, parti dans une escapade funky au milieu de ce blues bien basique, introduit de manière savoureuse par la guitare un peu « dirty » de Knudsen. Et il récidive en reprenant a cappella, comme un seul homme, le thème conclusif, « Absinthe », né de la plume du batteur Stefan Pasborg.

Alors ? dira-t-on, et l’avant-garde, l’exploration tumultueuse dans tout ça ? On aura compris qu’on en trouve peu de traces, hormis peut-être sur « Split It », qui tranche par quelques moments d’errance. Ce disque vaut plus par son énergie entraînante, son groove omniprésent à travers la variété des rythmes et le plaisir évident et communicatif des musiciens que par son audace. Again prouve qu’en ajoutant à leur trio le trombone ravageur d’Anderson, les Danois ont trouvé la bonne formule. On se permettra de trouver plus attachant le premier disque issu de cette rencontre, capté paraît-il lors du tout premier concert, avant lequel le tromboniste n’avait pu répéter avec le groupe : on y trouvait sans doute une écriture plus recherchée et plus d’originalité, mais déjà le témoignage de cette exubérance qui fait de cette formation une inégalable bête de scène. Quoiqu’il en soit, de la musique de divertissement comme ça on en redemande !


Tracklist :
1. Funkorific (8:58)
2. Splash (5:53)
3. Red Room (4:09)
4. Lobi (5:29)
5. Skip It (6:00)
6. En Kold Fra Kassen (6:32)
7. Blue Balls (9:23)
8. Absinthe (6:10)

mp3

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12 mai 2011 4 12 /05 /mai /2011 11:00

http://ecx.images-amazon.com/images/I/51nxxMbTbOL._SS300_.jpg

http://nikolajbentzon.com

http://www.myspace.com/bentzonbrotherhood

Origine du Groupe : Danemark
Style : Funk Jazz , Groove , Soul , Acid Jazz
Sortie : 2004

By http://www.cdbaby.com


Taught by his father, Niels Viggo Bentzon - one of the great composers in Danish contemporary music. Educated at Berklee College, Boston, 1983-86, graduated magna cum laude. Has distinguished himself as leader of own trio. Leader of successful jazz/funk bands, most recently "Bentzon Brotherhood" (albums: BMG 74321422612, BMG 74321626452, OffBeat 001, Cope Records 041, DR Records 1001). Also works as a composer and arranger. Recently signed with Danish Broadcasting Cooperation Production for his 10th release as a leader. His seventh album features funk legends Paul Jackson and Mike Clark from the ground-breaking "Herbie Hancock Headhunters". Has been asked -in the absence of Herbie Hancock - to join the Headhunters for touring. Joined the grammy award winning Danish Radio Big Band in 1990.
Bentzon began winning awards at the age of 19, when he was selected best soloist at the Dunkerque Jazz Festival. In 1983 he was selected as the first jazz musician to receive the prestigeous Jacob Gade Award, and soon afterward went on to Berklee College of Music in Boston, where he won the Oscar Peterson Jazz Award in 1985, and from which he graduated i 1986.
Bentzon continues to win awards, such as the Danish Jazz, Rock and Folk Composers´ Honorary Award for original compositions. Double prizewinner at the Annual International Jazz Theme Competition in Monaco and winner of European Jazz Federation´s annual "Jazz Contest". Co-composing and piano duo performances with his father, the well-respected composer Niels Viggo Bentzon, brought Bentzon early critical attention and acclaim.

 


Tracklist :
1.Powered
2.The Cool Shadow of the Bedouin Tent
3.Gonna Holla Like Tarzan
4.Tricked
5.Mount Ego
6.Comeback of the Average Joe
7.I Shot the Sheriff
8.Suite Africaine I: Sahara Passage
9.Suite Africaine II: Out post Ghazal
10.Smokes
11.Split Decision
12.This Place Has Changed
13.Constiuents
mp3

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26 avril 2011 2 26 /04 /avril /2011 11:00

http://www.rap-n-blues.com/wp-content/uploads/2011/01/Album-Stream-Charles-Bradley-No-Time-For-Dreaming-Tracklist-Cover.jpg

http://www.myspace.com/charlesbradleymusic

Origine du Groupe : North America
Style : Soul , Funk
Sortie : 2011

Par Julien Renou pour http://www.wegofunk.com

Longtemps entre-aperçu, trop longtemps espéré, Dunham sort enfin le premier album de Charles Bradley.

Le label du guitariste des Dap-Kings, Tom Brenneck, nous avait distillé depuis deux ans quelques titres, juste de quoi nous faire saliver.
Découvert par Gabe Roth (un des fondateurs de Daptone Records) après un show à Big Apple, c'est sous l’égide du label New Yorkais que Charles Bradley commence par chanter de la bonne vieille funk avec les Sugarman 3 et les Bullets. Mais c’est avec Tommy « TNT » Breneck que son répertoire s’oriente vers la soul et l’album prend forme au bout de deux ans, rassemblant ses premiers singles et quelques titres rodés en live.

La première écoute suffit pour savoir à quoi on a affaire, une soul profonde accompagnée parfaitement par le Menahan Street Band. Et ne vous fiez pas à cette mine réjouie qu'il arbore sur la pochette,Charles Bradley est triste et veut nous le faire savoir avec No Time For Dreaming. Ce premier opus débute avec le titre This World (Is Going Up in Flames), pour finir avec Heataches and Pain, confirmant tout au long de l’album l’immense talent de Charles Bradley. Ce dernier titre raconte l’histoire du meurtre de son frère et à l’entendre on se dit sans nul doute que si la tristesse devait parler, elle passerait à coup sûr par ce type là. Enfin comme tout bon disque de soul, il n’oublie pas quelques « love songs » où Charles ne chante pas l’amour, il le crie (Lovin You). Ajoutez à tout ça un ou deux titres qui renouent un peu avec la soul engagée d’un Curtis Mayfield, avec les morceaux les No Time For Dreaming et Why Is it so Hard, vous aurez alors un des meilleurs albums soul du troisième millénaire. Les arrangements de Tom Breneck servent parfaitement d’écrin à la voix brute et profonde de Charles Bradley et le son s'inscrit dans la pure tradition Daptone.

La légende raconte que c ‘est en allant voir un concert de James Brown à l’Appolo en 62 que lui est venue l’idée de chanter.... même là-haut le Godfather continue de nous procurer bien du plaisir.


Tracklist :
01. The World (Is Going up in Flames)
02. The Telephone Song
03. Golden Rule
04. I Believe in Your Love
05. Trouble in the Land
06. Lovin’ You, Baby
07. No Time for Dreaming
08. How Long
09. In You (I Found a Love)
10. Why is it so Hard?
11. Since Our Last Goodbye
12. Heartaches and Pain

mp3

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3 avril 2011 7 03 /04 /avril /2011 11:00

http://3.bp.blogspot.com/_8JVNqSqSxxE/SPkW3oFVmkI/AAAAAAAAAYQ/28EHtFm6-b8/s400/j-boogie%27s_dubtronic_science_soul_vibrations_front.jpg

http://jboogie.com

http://www.myspace.com/dubtronicscience

Origine du Groupe : North America
Style : Nu-Soul , Funk , Groove , Hip Hop , Remix
Sortie : 2008

From http://www.amazon.com

This sophomore release features Lyrics Born, Zumbi (of Zion I), Crown City Rockers, The Rebirth, Ohmega Watts, Rich Medina, and more. Destined to become an old school hip-hop soul electronic fused classic. From politics to love and roller disco to BBQs, "Soul Vibrations" is the perfect summer soundtrack with its slick future soul, dance floor party tracks, and sensual instrumental compositions.

 


Tracklist :
1. Sweet Music feat Tony Moses 3:26
2. Revolution feat Lyrics Born & The Mamaz 4:12
3. Que Pasa feat Deuce Eclipse 6:05
4. For Your Love feat Zumbi of Zion I & Rithma 4:15
5. Dirty feat Tim'm West 6:07
6. Together feat Jennifer Johns 3:47
7. Leave It All Behind feat Rebirth & Aima The Dreamer 4:54
8. In The Queue 0:16
9. Inferno feat Lunar Heights 5:58
10. Alive feat Crown City Rockers & Jrod Indigo 4:45
11. Alegria feat Ted De Oliveira 4:34
12. 1.4.U feat Ohmega Watts & Ragen Fykes 4:48
13. Same Ol Thang feat Rich Medina 5:27
14. Chopsticks 5:21
15. Out To The Bay feat Capitol A & Aima The Dreamer 6:11

mp3

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20 mars 2011 7 20 /03 /mars /2011 15:00

http://www.plasticdreams.co.uk/images/los_amigos_invisibles_venezuelan.jpeg

http://beta.amigosinvisibles.com

http://www.myspace.com/losamigosinvisibles

Origine du Groupe : Venezuela , North America
Style : Funk , Soul , Groove , Disco , Acid Jazz , Latin Music
Sortie : 1998

By Ramiro Burr  from http://www.amazon.com

Fresh, irreverent, and vigorous, Amigos Invisibles defy categorization. The band's base is rock en español with party attitude fueled by world-party verve. "Ultra-Funk" and "Mi Linda" throw the first hard punches with the message--this is dance-party music, mister, no milquetoasts allowed. Hard funk, rippling percussion, lounge licks, and more all come together nicely. There are even bossa nova grooves on the mellow "Las Lycras del Avila" and '70s funk rhythms on "Cachete a Cachete." The Venezuelan sextet breaks down barriers on the industry's maniacal need to pigeonhole music with this amalgam of rhythms, but the CD is easy listening. Charming, even after a dozen spins.

 


Tracklist :       
01- Güelcome
02- Ultra - Funk
03- Mi Linda
04- Sexy
05- Las Lycras Del Avila
06- Groupie
07- Otra Vez
08- Cachete A Cachete
09- Balada De Chusy
10- Asomacho
11- Ponerte En Cuatro
12- Mango Cool
13- Nerio Compra Contestadora
14- Quiero Desintegrar A Tu Novio
15- El Disco Anal
16- No Me Pagan
17- Cha - Chaborro
18- Aldemaro En Su Camaro
19- The New Sound Of The Venezuelan Gozadera

mp3

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19 mars 2011 6 19 /03 /mars /2011 11:00

http://lemangedisque.com/wp-content/uploads/2010/12/intotheinfrasounds.jpg

http://www.monophonics.com

http://www.myspace.com/monophonics

Origine du Groupe : North America
Style : Funk , Soul , Groove , Instrumental
Sortie : 2010

Par http://lemangedisque.com

Basés à San Francisco, ce jeune groupe formé en 2005 s'est rapidement fait un nom parmi les quelques groupes de funk qui montent. Leur dernier disque "Into the Infrasounds", sorti à l'automne 2010 est un régal de funk et d'afrobeat. À cette occasion, les Monophonics ont invité quelques talentueux musiciens, dont Karl Denson (The Greyboy Allstars), Mic Gillette (Tower of Power), rien que ça !!!.  Leur musique  perpétue l'héritage de groupes de funk des années 1970 comme The J.B.'s, The Meters, Headhunters...

Comme pour leur premier album  "Playin and Simple", on est frappé par la qualité de l'enregistrement. Le groupe a de nouveau fait appel aux services des prestigieux et très funky Plant Studios, qui ont su donner à leur musique la sonorité funk de groupes mythiques comme The Meters. Les thèmes sont bien construits, et comportent d'excellentes parties de cuivres. Toutefois, les musiciens (mis à part les cuivres), restent assez prudents et ne s'aventurent pas trop dans des solos. Ce type de musique s'y prête pourtant parfaitement.

Attention, leur musique ne manque cependant pas de groove ! Mais avec quelques solos de guitare et d'orgue en plus, ça aurait été le top !


Band Members:
Alex Baky - Saxophone / Flute
Austin Bohlman - Drums
Colin Brown - Keys
Ian McDonald - Guitar / Electric Sitar
Kyle Middlebrooks - Percussion
Myles O'Mahoney - Bass
Ryan Scott - Trumpet

Special Guests:
Karl Denson - Saxophone / Flute
Mic Gillette - Trombone
Jonathan Korty - Harmonica
Hugh Schick - Trumpet
Marcus Scott - Vocals
Charlie Wilson - Trombone

Tracklist :       
01. Goliath 05:03
02. $2.50 03:14
03. Simon's Song 04:57
04. I'm Done 05:10
05. Ageless (feat. Karl Denson) 06:23
06. Low Blow 04:12
07. Grappa 04:55
08. Agamemnon 04:22
09. Filth Flarn Filth (feat. Karl Denson) 07:29
10. Can't Leave It Alone 04:44
11. Rotten Ribs 03:40
12. Loose Nukes (feat. Karl Denson) 03:42
13. Nunu 04:03

mp3

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13 mars 2011 7 13 /03 /mars /2011 11:00

http://ecx.images-amazon.com/images/I/51X%2B6wYeEGL._SL500_AA300_.jpg

Origine du Groupe : North America
Style : Soul Jazz , Smooth Jazz , Nu-Jazz , Groove
Sortie : 2004

By Cassandra burks  from http://www.amazon.com

Calling all yoy Jazz lovers. This is a must have for your collection. I promise you you won"t be disapointed. This Cd has a groove from start to finish. It has some nice Vocals, but the jazz has a mellow, put you in a good want to slap your Momma mood!My favorites are Mr Radio, Riff to the smooth, Set U free, Rockin U that features Roy Ayers, Blue,3D, B-line, Roll up. Hey I dig the whole CD. Just take my world for it. Buy it. I can't get it out of my Cd Player in my suv. It makes me mad that there are so many good artist out there, that don't get there props. All I can say is 3D, keep the good flow flowing!!!

Tracklist :       
1. Mr. Radio
2. 2Nite (Guest Musician: K-Rob)
3. Riff To The Smooth
4. Set U Free (Guest Vocals: Bobby Depasois)
5. Rockin' U Eternally (Guest Vocals: Roy Ayers)
6. Blue
7. 3D
8. B-Line
9. Roll Up
10. Higher Self
11. 2Nite (Instrumental Remix)
12. Riff ToThe Rhodes

mp3

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9 mars 2011 3 09 /03 /mars /2011 11:00

http://2.bp.blogspot.com/-5TX5GCRdnyQ/TWkR_-WTd_I/AAAAAAAAKwc/rtubo5K6EbM/s1600/front.jpg

Origine du Groupe : North America
Style : Funk
Sortie : 1974

By a mind with no ceiling  from http://oufarkhan.blogspot.com

A rare funky soul classic! This one was originally issued on Brunswick in 1974, and the record's a great one – it's got a tight ensemble funky sound, mixed with some great soulful vocals, and a strong indie soul groove.

The band originally came from North Carolina, and they've got a style that's similar to some of the other south coast funk groups that were operating in the 70s in cities like Washington, Richmond, and other points south. Most tracks have deep soulful vocals, but there's some very nice instrumentals too, and the band's got a pretty tight approach to playing. Titles include "Rump Bump", "Loose Hips", "Get Satisfied (parts 1 & 2)", "Loving Explosion", "Give It Up", and "Blood Donors Needed".

Tracklist :       
   1. Get Satisfied
   2. Love Your Woman
   3. Give It Up
   4. Try Try Try
   5. Blood Donors Needed (Give All You Can)
   6. Taking Love And Making Love
   7. Get Satisfied (Part 2)
   8. Loose Hips
   9. Rump Bump

mp3

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28 février 2011 1 28 /02 /février /2011 15:00

http://1.bp.blogspot.com/_Ml_Yj8KBM7A/SHIJmlCypoI/AAAAAAAABIY/HVpTKg6KMxs/s400/syreeta_one_fr.jpg

http://fr.wikipedia.org/wiki/Syreeta_Wright

http://en.wikipedia.org/wiki/Syreeta_Wright

Origine du Groupe : North America
Style : Soul
Sortie : 1977

By A mind with no ceiling  from http://oufarkhan.blogspot.com

The third album by Syreeta, that time backed by Leon Ware on the Tamla imprint, including the participation of Gary Bartz on a couple of tracks. Quoting Dusty Groove, as often, this is 'beautiful spacey soul from Syreeta -- and proof that she was one of Motown's great lost talents of the 70s! Leon Ware did the production, and Syreeta's high Minnie Riperton-esque voice is backed by a smooth set of mellow grooves with lots of cool electronic bits and weird moogy parts that remind us of Ware's own "Musical Massage" LP.

The whole thing's a wonderful blend of spacey soul -- and we rank it right up there with the best work by Ware, Riperton, and some of our other 70s mellow soul favorites. Tracks include "I Don't Know", "Rest Yourself", "One To One", and my personal fave "Tiki Tiki Donga".

Beautiful cover art, too!

 


Line Up :
Lead vocals by Syreeta Wright
Background vocals by Syreeta Wright, Leon Ware, Jim Gilstrap, Marietta Araiza, and Stevie Wonder
Bass guitar by Chuck Rainey and Curtis Robertson Jr.
Guitars by David T. Walker, Greg Poree, Marc Silverman, Mike Sembello, Ray Parker Jr., and Steve Buckmeier
Drums by Alvin Taylor, Howard King, and James Gadson
Keyboards by Greg Phillinganes, John Barnes, and Sonny Burke
Percussion by Eddie "Bongo" Brown and Mayuto
Saxophone solo by Gary Bartz

Tracklist :
1. One to One (4:50)
2. I Don't Know (4:22)
3. Rest Yourself (4:39)
4. I Too Am Waiting (5:38)
5. Tiki Tiki Donga (5:05)
6. Don't Cry (7:10)
7. Harmour Love (3:36)
8. One to One (Reprise) (4:50)

mp3

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