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29 novembre 2011 2 29 /11 /novembre /2011 14:00

http://img440.imageshack.us/img440/1117/cesariaevoraliveaparis.jpg

http://www.cesaria-evora.com

http://www.myspace.com/cesariaevora

http://www.myspace.com/bataclanparis

Origine du Groupe : Cap Verde
Style : World Music
Sortie : 1995
Durée : 00:49:06 

 

IMPORTANT :

Cesaria Evora met fin à sa carrière.

Cesaria Evora n’honorera pas les concerts qu’elle devait donner dans les prochaines semaines.

La chanteuse capverdienne, qui vient d’avoir 70 ans le 27 août dernier et que l’on avait vu en avril très en forme sur la scène parisienne du Grand Rex, est arrivée il y a quelques jours à Paris dans un état de grande faiblesse. Ses nouveaux problèmes de santé font suite à plusieurs interventions chirurgicales qu’elle a subies ces dernières années, dont une opération à coeur ouvert, en mai 2010.

Les médecins qui la suivent à Paris lui ayant ordonné d’annuler sa prochaine tournée, Cesaria a décidé en accord avec son producteur et manager, José da Silva, de mettre fin de manière définitive à sa carrière, en renonçant à cette vie itinérante qui la mène aux 4 coins du monde, depuis ses grands débuts en 1991 sur la scène internationale.

Dans une entrevue qu’elle a donnée au journal Le Monde, Cesaria Evora explique sa décision à la journaliste Véronique Mortaigne et adresse un message d’amour à tous ses admirateurs.


Service de presse Lusafrica
promo@lusafrica.com
+33 (0) 153 111 902 



From Official Site :

Cesaria Evora a commencé sa carrière de chanteuse à Mindelo, sur l’île de São Vicente, il y a plus de quarante-cinq ans. A peine âgée d’une vingtaine d’années, elle chantait déjà les amours qui se défont et l’isolement des îles du Cap-Vert exprimant un spleen inouï comme en témoignent les enregistrements de l’époque réédités fin 2008 sous le titre « Radio Mindelo ». Qu’elle s’ancre dans une saudade à l’appel universel ou qu’elle se dissolve sans bruit sur ces îles sous le vent, cette mélancolie atlantique demeure la marque de fabrique de Cesaria Evora. Qu’elle interprète des coladeras, des chansons entêtantes faites pour danser ou des mornas, le blues capverdien, sa voix saisit inexorablement l’auditeur. Trois ans après « Rogamar », la chanteuse capverdienne revient avec « Nha Sentimento », un album à la fois grave et léger.


Tracklist :
01 - Sao Vicente Di Longe
02 - Sodade
03 - Miss Perfumado
04 - Sangue De Beirona
05 - Fada
06 - Nho Antone Escaderode
07 - Carnaval De Sao Vicente
08 - Negue
09 - Angola
10 - Pic Nic Na Salamansa
11 - Besame Mucho
12 - Nutridinha

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27 novembre 2011 7 27 /11 /novembre /2011 13:00

http://pixhost.me/avaxhome/0d/56/001e560d_medium.jpeg

http://www.anuradhapal.com

Origine du Groupe : India   
Style : World Music , Instrumental
Sortie : 2006

icon streaming

From Official Website :

“Bangkok’s 9th International Festival of Dance and Music, was graced by the presence of HRH Princess of Thailand, Mahachakri Sirindon where Anuradha Pal, one of India’s leading and most innovative percussionists presented Stree Shakti, Asia’s much acclaimed all female percussion ensemble. Anuradha Pal kept the audience spellbound playing the Tabla at a mind blowing speed mesmerizing all those present with her rhythms using traditional instruments like Mridangam, Kanjira, Ghatam and moorsing along with Sitar. The ensemble producing some really powerful beats performing expertly, with vigorous energy and with amazing coordination. A memorable performance!”
- The Bangkok Post, 2007.


Anuradha Pal (Tabla & Vocal Percussion),
Sukanya Ramgopal (Ghatam, Konnakol aka Vocal Percussion),
Latha Ramachar (Kanjira) &
Shubhadra Paradkar (Vocals)

Tracklist :
1. Coming Together
2. Celebration
3. Raga Tala Yatra
4.Tala Vadya Kacheri In Jhaptaal

mp3

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24 novembre 2011 4 24 /11 /novembre /2011 14:30

http://ecx.images-amazon.com/images/I/61eIn9cXjYL._SL500_AA280_.jpg

http://waynegorbeasalsapicante.com

http://www.myspace.com/waynegorbeassalsapicante

Origine du Groupe : North America
Style : World Music , Latin Music , Salsa
Sortie : 2002

icon streaming

Pour http://www.salsafrance.com

Revoilà Wayne Gorbea et son orchestre avec un nouvel album, qui confirme que le succès de l’album précédent n’était pas un coup de chance. Sa Salsa dura aux saveurs prononcées de Mambo est plus dansable que jamais, et on reconnait la "griffe" de Monsieur Gorbea dès les premières notes. Pas de textes hautement philosophiques : ceci est de la musique faite pour la danse. Une confirmation de plus du revival de la Salsa traditionnelle new-yorkaise, pour le plus grand plaisir des amateurs.


Tracklist :
1. Sube Esa Custa
2. Clavo y Martillo
3. No Hay Confucion
4. Fiesta en el Bronx
5. Estamos en Salsa
6. Saboreando Vengo
7. Rumba Nortena
8. Sabor Sabor

mp3

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18 novembre 2011 5 18 /11 /novembre /2011 15:00

http://static.rateyourmusic.com/album_images/a3933f04c56f54b495a2745eda8bbacf/421267.jpg

http://www.santoor.com

http://en.wikipedia.org/wiki/Brij_Bhushan_Kabra

http://www.hariprasadchaurasia.com

Origine du Groupe : India
Style : World Music , Traditional India
Sortie : 1995 (1967)

From http://www.amazon.com

"Call of the valley" is to Indian classical music what "Hamlet" is to the English theater or "Mona lisa" is to the European painting - a milestone that is destined to remain the gold- standard forever. Quite possibly the highest selling album of Indian classical or instrumental album of all time, it is still finding - after three decades - new listeners who find listening to the album to be one of the most fulfilling experiences of their life. The music is simple. It is profound. It is mesmerizing. It is also revolutionary. On santoor(hammered dulcimer), flute and guitar three maestros created six simple pieces, about six-seven minutes each, and presented essence of six ragas. They say the theme is romantic. One of the instruments represents the natural ambiance and the other two represent a man and a woman courting. You may or may not get this but you will understand that this are hymns to mother nature. The beauty is that you don't have to be a connoisseur, you don't even have to know the first thing about Indian classical music to enjoy this. It simply pulls you in. In fact this is the music that has initiated hundreds of thousands of young people in India into the Classical music - even if just as a listener. As you learn more about the classical music your pleasure turns into respect for the music that you know took more evolved individuals than an average person or an average musician to create!


Shivkumar Sharma - santoor
Brijbushan Kabra - acoustic guitar
Hariprasad Chaurasia - flute
Manikrao Popatkar - tabla

Tracklist :
1. Ahir Bhairav, Nat Bhairav
2. Rag Piloo
3. Bhoop
4. Rag Des
5. Rag Pahadi
6. Ghara - Dadra
7. Dhun - Mishra Kirwani
8. Bageshwari

mp3

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15 novembre 2011 2 15 /11 /novembre /2011 15:00

http://www.kikodinucci.com.br/images/capa.jpg

http://www.kikodinucci.com.br

Origine du Groupe : Brazil
Style : World Music , Afro Samba
Sortie : 2011

Par Olivier Cathus pour http://lelixirdudrfunkathus.blogspot.com

Avec “Metá Metá”, Kiko Dinucci, Juçara Marçal et Thiago França nous offrent un plongeon sans retour dans la nouvelle scène afro-samba brésilienne

Quand on pense à São Paulo, ce n’est pas le samba qui nous vient à l’esprit. Même s’il a existé de grandes figures locales en la matière (Adoniran Barbosa, Paulo Vanzolini…), l’industrieuse mégapole est plutôt cet incroyable carrefour cosmopolite où germent les formes métissées-globalisées d’un Brésil moderne, rock et électro. Pourtant, il existe aussi une scène pauliste qui creuse vers ses racines afro-brésiliennes, qui s’imprègne de sa spiritualité et vibre de ses rythmes. Une scène indépendante, qui outre son effervescence artistique, essaie d’inventer un nouveau modèle pour diffuser sa musique. Au centre de cette scène, on trouve Kiko Dinucci, jeune compositeur ayant trouvé son inspiration dans des afro-sambas très personnelles et originales. En compagnie de Juçara Marçal et Thiago França, il vient de signer Metá Metá, un album qui risque fort de figurer parmi les plus beaux de l’année.

Avant de présenter ce disque, il me semble utile de préciser ce qu’on entend par afro-samba… On se souvient qu’en 1966, Vinícius de Moraes et Baden Powell ont enregistré certaines des chansons qu’ils avaient composé ensemble un peu plus tôt. Ces chansons ont été réunies sur l’album Os Afro-Sambas. Assurément un des disques essentiels de la musique brésilienne. La particularité de cette œuvre est qu’elle a trouvé son inspiration dans la spiritualité des religions afro-brésiliennes. Les chansons s’y faisant évocation des orixas de ce panthéon : “Lamento de Exu”, “Canto de Ossanha”, etc… Le terme afro-samba pourrait n’être que bêtement redondant tant le samba est déjà en soi bien afro, si ce préfixe ne soulignait ici une particularité de plus, à savoir cette inspiration spirituelle. Ainsi, sera considérée comme afro-samba, une musique qui chantera les orixas, aura recours à la langue yoruba (ou ce qu’il en reste) même si, paradoxe, elle n’est pas stricto sensu… samba !

Si la notion d’afro-samba est encore associée au génie de Baden Powell, Kiko Dinucci ne s’en est jamais inspiré pour développer son jeu de guitare. Aux envolées de Baden, toujours à la limite de la démence, il préfère une sobriété toute terrienne, posant les bases qui autorisent toutes les libertés à ses partenaires.

Né en 1977, Kiko Dinucci est un artiste qui a commencé par le rock avant d’évoluer vers le samba et de s’impliquer dans une recherche sur les religions afro-brésiliennes. Cette quête spirituelle est même au cœur de son travail. S’il est musicien avant tout, Kiko Dinucci est également peintre, graveur (sur bois) et réalisateur. Il est ainsi l’auteur d’un film documentaire Dança das Cabaças - Exu no Brasil où il s’est interrogé sur la place occupée par Exu dans l’imaginaire brésilien. En allant à la rencontre de dignitaires des Candomblés (de tradition Nagô, Gege ou Bantoue), Tambor de Mina, Umbanda et Quimbanda, il souligne qu’Exu pourrait être décrit comme un “diable bon” quand, pendant des siècles, l’Eglise s’est acharnée à le diaboliser, engoncée dans ses notions de Bien et de Mal manichéennes. Des notions plus ambigües et complexes dans les religions afro-brésiliennes et, surtout, qui ne sont pas le prisme obligée pour appréhender la vie.

Dans la musique de Kiko Dinucci, on trouve les échos de cette force spirituelle. Que ce soit avec son groupe, Banda AfroMacarrônico, ou ici avec ce dernier projet, c’est la véritable source d’inspiration d’une grande partie de son travail. Metá Metá est un album surprenant, intense. Assurément un des albums de l’année pour qui aime les musiques brésiliennes exigeantes. Alors que Kiko et Juçara Marçal collaborent depuis quelques années, ayant notamment enregistré ensemble l’album Padê en 2007, la rencontre avec le saxophone et la flûte de Thiago França vient grandement enrichir leur musique et soutenir la voix magnifique de Juçara Marçal. Car pour incarner cette musique, il fallait une voix exceptionnelle, à rendre jalouses toutes ses consœurs, une voix toujours juste, capable de tout chanter sans jamais forcer.

A eux trois, Kiko, Juçara et Thiago développent un son résolument original qui ne ressemble à nul autre. Si un des plus beaux titres de l’album, “Samuel”, composé par Kiko et Rodrigo Campos, est un titre tout en douceur, il est par ailleurs très étonnant de constater que, sur cet album résolument afro, il n’y a ni batterie ni percussions sur la moitié des titres ! Mais quand Samba Ossalê aux percussions et Sergio Machado à la batterie se mettent de la partie, sur la deuxième partie du disque, c’est une montée vertigineuse, comme si les orixas se mettaient au free !

Metá Metá est une œuvre qui ouvre les afro-sambas sur le jazz. Les tire jusqu’à l’afrobeat. Leur fait toucher sur “Obatalá”, tout en apaisement apollinien, une forme de spiritual jazz qui ne déparerait pas sur un album du collectif Build An Ark. Une façon d’en faire des méta-afro-sambas, en quelque sorte. A ceci près que le sens de méta ici est tout autre. En effet, Metá Metá est un mot yoruba qui signifie “trois en même temps”, soit une synthèse de trois éléments en un seul. Kiko Dinucci, Juçara Marçal et Thiago França incarnent cette idée à merveille. Non seulement l’album est disponible gratuitement en téléchargement, mais vous pouvez également installez sur votre ordinateur l’application Bagagem sur le site de Kiko Dinucci, également gratuite, qui vous permet d’écouter l’album en regardant les vidéos réalisées pour chacun des titres.


Tracklist :
1. Vale do Jucá
2. Umbigada
3. Papel Sulfite
4. Trovoa
5. Samuel
6. Vias de Fato
7. Oranian
8. Obá Iná
9. Obatalá
10. Ora Iê iê o

mp3FREE DOWNLOAD FROM OFFICIAL SITE

Licença Creative Commons

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13 novembre 2011 7 13 /11 /novembre /2011 07:00

http://ecx.images-amazon.com/images/I/51GR7qPyqFL._SS400_.jpg

http://www.fondationalifarkatoure.org

http://www.myspace.com/alifarkatoureofficial

Origine du Groupe : Mali
Style : World Music , Blues Mali , Instrumental Guitar
Sortie : 1991

Par "papou_49" pour http://www.amazon.fr

Avec l'arrivée d'Ali Farka Toure sur la scène mondiale, l'Occident (re)découvrait les racines africaines du blues. Loin du Mississipi, c'est sur les bords du fleuve Niger que ce guitariste unique a grandi. Adoubé par John Lee Hooker lui-même, cela n'empêcha jamais notre homme de se voir avant tout comme un fermier. Issu d'une famille noble, il n'aurait d'ailleurs jamais dû devenir musicien. Mais les esprits du fleuve, qui inspireraient à Ali, selon lui, sa musique, en avait décider autrement.

Dans ce deuxième album chez World Circuit, le background, assuré par son groupe , est plus fourni que dans The River. Calebasse, congas et choeur cotoient les tabla de Nitin Sawney, ainsi que les guitares de Rory McLeod et Taj Mahal sur l'incontournable Roucky, un blues méditatif de huit minutes. La guitare capte également de nouvelles influences comme, par exemple, celle de la proche Mauritanie (Yenna). Tour à tour griot (Dofana, Hawa Dolo), moraliste (Goye Kur) ou pieux (Inchana Massina), c'est bien au Mali tout entier qu' Ali Farka Toure entendait s'adresser. Très inspiré, il démontrait déjà que sa musique résonnait bien au-delà. Son Grammy Award, trois ans plus tard pour Talking Timbuktu, n'en était que la juste confirmation.


Tracklist :
01- Goye Kur
02- Inchana Massina
03- Roucky
04- Dofana
05- Karaw
06- Hawa Dolo
07- Cinquante Six
08- I Go Ka
09- Yenna
10- Mahini Me

mp3

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11 novembre 2011 5 11 /11 /novembre /2011 20:30

http://www.qobuz.com/images/jaquettes/3700/3700368410493_600.jpg

http://www.marwan-abado.net

http://www.myspace.com/marwanabado

Origine du Groupe :
Style : World
Sortie : 2005

From Official Site :

Marwan Abado is the best known ambassador of oriental music in Austria and one of those musicians who demonstrate that Austria is a land of music full of inspiration and interesting encounters.
The native Palestinian has lived in Vienna for over 20 years and has played with many musicians from various cultures and styles, including among others Timna Brauer, Alegre Correa, Krysztof Dobrek, Franz Hautzinger, Eliott Sharo, Kamila Jubran, Otto Lechner, Charbel Rouhana, Sahar Taha.

Marwan Abado was selected best artist in the category folk & world-international by the Austrian music magazine Concerto in 2005 (together with K. Dobrek, A. Biz, A. Correa and R. Neuwirth for the CD and live programme “´s geht eh“), in 2006 Abado was selected second best artist in the same category for his CD “Kabila”. In November 2008 Abado received the Federal Medal of Intercultural Dialogue from the Austrian Ministry for Education, Arts and Culture, for his engagement in intercultural dialogue. Besides his own musical programmes Abado has also composed for film and theatre. His latest theatre compositions can be heard in Vienna’s renowned Akademietheater in the play “Incendies” by Wajdi Mouawad.

Abado's music has its roots in the classical Arabic music tradition of the TAQ´SIM, which is not restricted to particular rhythms, but rather springs from the inner impulses of the musician.
On the one hand Abado´s melodies and musical concepts take their power from the deep relatedness to his roots. He is conscious about the rich Arabic tradition which he is “musically living” not only quoting. At the same time, Abado steps across the borders between orient and occident seeking dialogue with European traditions and musicians. The outcome, Abado´s specific sound: cosmopolitan, borderless music.
Contemporary poetry and prose often provide the inspiration for Abado's lyrics. The songs tell stories about parting, travelling, expulsion, hope and – of course – love.
“My music is not trendy – it is part of me. I am living here in Vienna as a musician with an oriental background, speaking an oriental language, playing an oriental instrument – the oud. At the same time I feel cosmopolitan. Here in this town I meet and work with people from all over the world with different cultural backgrounds everyday – so my music is neither Arabic nor European. My music is simply the expression of my feelings and my life.”


Tracklist :
1. Lam' ma l'hamamm
2. Samai lammi
3. Kaan ya ma kaan
4. Kabila
5. Habibi
6. Hawa
7. Wadah
8. A love story between a camel and a cow
9. Hawilou
10. Taeru Le’ Raàdi

mp3

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8 novembre 2011 2 08 /11 /novembre /2011 15:00

http://www.azimuthprod.com/azimuth/wp-content/uploads/2011/06/d3c_66378.jpg

http://www.calypsorosediva.com

Origine du Groupe : Trinidad and Tobago
Style : World Music , Calypso
Sortie : 2011
Durée : 90min

 

Par http://liveweb.arte.tv

Calypso Rose est l’ambassadrice de la musique caribéenne. Durant sa carrière, elle a écrit plus de 800 chansons et enregistré 25 albums. Légende vivante du calypso, on la compare souvent à des chanteuses aussi charismatiques que Miriam Makeba et Aretha Franklin. En 1978, Calypso Rose remporte à Trinité pour la première fois le titre de « Reine du Calypso », qu’elle conservera pendant cinq ans. Sur scène, elle déploie une énergie phénoménale et un vrai talent de performeuse, rendant avec authenticité toute la teneur souvent leste des textes de calypso.

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27 octobre 2011 4 27 /10 /octobre /2011 12:30

http://images.music-story.com/img/album_F_400/fatoumata-diawara-kanou-ep-single.jpg

http://www.myspace.com/fatoumatadiawara

Origine du Groupe : Mali , France
Style : World Music
Sortie : 2011

Par Lara Beswick pour http://owni.fr

Quand elle évoque son projet personnel, elle parle de musique et de chant. Elle parle de jouer quand elle évoque les rôles qui lui ont été confiés. Fatoumata est considérée comme une artiste émergente. Pourtant sa carrière scénique est déjà bien remplie.

D’abord comédienne et actrice, elle est repérée en 1996 par le grand cinéaste Cheick Oumar Sissoko qui l’engage dans le film La Genèse (prix Un certain regard à Cannes). Elle enchaîne ensuite sur Sia : le rêve du Python (Prix spécial du jury au Fespaco) et deux ans plus tard, à Paris, elle travaille sur l’adaptation de Jean-Louis Sagot Duvauroux de la pièce Antigone.

En 2002, sa vie de femme et d’artiste prend un nouveau tournant quand elle répond à une offre pour intégrer la plus grande compagnie de théâtre de rue au monde, Royal de Luxe. Elle est engagée sur-le-champ et devient la chanteuse de la troupe. En mai 2007, elle sera appelée à interpréter le rôle de Karaba dans la comédie musicale Kirikou et Karaba. S’ensuivent une multitude de rencontres qui lui donneront l’opportunité de participer aux projets d’illustres artistes tels Dee Dee Bridgewater, Herbie Hancock, Hank Jones ou encore Cheik Tidiane Seick.

C’est alors qu’elle décide de travailler sur un projet musical qui sera le sien. Aujourd’hui, après de longues années de travail et de réflexion, Fatoumata nous offre un EP de musique traditionnelle africaine teintée d’influences jazz et blues, calme mais dansant. Le tout en touchant des sujets graves avec un charme et une douceur parfois déstabilisants.

Lors de notre rencontre avec Fatoumata Diawara, nous découvrons une femme au charisme imposant qui prend le temps de s’exprimer en choisissant chaque mot.


Une artiste émergente déjà très expérimentée

“Kanou” est ton premier EP en studio, combien de temps as-tu mis pour l’enregistrer ?

Depuis 2006, je me rends régulièrement au studio pour enregistrer. Mon producteur Nick Gold a donc récupéré tout le matériel pour faire des arrangements, des mix. Comme ce sont des enregistrements voix/guitare, il fallait ajouter quelques basses, percus, piano…
Sorties le 9 mai 2011, 5 ans donc après avoir commencé à travailler, est-ce que tes compositions te semblaient toujours d’actualité ? Quel effet ça fait de sortir cet EP que tu as mis si longtemps à réaliser ?

J’étais très contente avec mes compos et ça fait du bien de l’avoir sorti. J’avais un peu l’habitude, ayant déjà participé à plusieurs enregistrements pour d’autres artistes dont celui de Dee Dee Bridgewater, Oumou Sangaré ou Polirytmo. Mais c’est vrai que c’est différent quand il s’agit de son propre album.
Entre la scène et le studio, qu’est-ce que tu préfères ?

Je n’ai pas de préférence, ce sont deux énergies très différentes. La seule chose, c’est que j’ai toujours joué des rôles très sévères, très durs sur scène, toujours des rôles dramatiques, jusqu’à Karaba dans Kirikou et Karaba. Depuis l’Afrique, j’ai toujours joué des rôles de jeunes filles violées, battues, maltraitées. Karaba est le comble de la jeune femme malheureuse, violée et battue. Aussi, quand je chante, c’est une autre façade de moi, c’est plutôt moi en fait, je n’interprète pas un autre personnage. Là, je suis en phase avec mon âme et je m’impose. J’ai mis du temps à sortir ce projet parce que ça prend du temps de trouver son style, son genre, sa voix et être à l’aise.
Le travail d’interprète est différent de celui d’auteur-compositeur. Est-ce plus difficile à assumer ?

Assumer de sortir un album n’est pas difficile, c’est s’imposer finalement qui l’est. Tu décides que ce que tu as écrit dans l’intimité, ce que tu as écrit seule, avec tes réflexions, tes moments de solitude, tu le partages avec le monde. C’est ça la petite différence. C’est ça la sensation qui est inexplicable. C’est que tu t’imposes, que tu signes un contrat, que tu acceptes de rencontrer le monde. C’est une forme de générosité qui est énorme mais il faut être forte, il faut être capable de l’assumer, d’accepter les critiques. Il ne faut pas s’attendre aux retours, il faut donner.
L’album qui va suivre cet EP et qui sortira en septembre raconte-t-il une histoire ?

Pas vraiment une seule histoire. Ça raconte le parcours d’une jeune fille africaine, qui a décidé d’être une femme, de faire sa vie, qui a décidé d’être libre, de vivre de ses choix, de prendre des risques, de comprendre et d’apprendre la vie telle qu’elle est, à l’état brut sans que les gens te disent ce que tu dois faire et de comprendre la vie par toi-même. Donc c’est plutôt moi et, comme j’ai 29 ans, ça raconte mon parcours, ce chemin-là. Il reste plein de choses à découvrir encore, plein d’histoires à vivre. Cet album c’est le goût de mes expériences.


Tracklist :
01. Kanou
02. Bakonoba
03. Nayan
04. Clandestin (Live)

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9 octobre 2011 7 09 /10 /octobre /2011 15:00

http://4.bp.blogspot.com/_bJrsy3Cqszk/S5Jyzg9d4OI/AAAAAAAAATQ/xMbtyKp_PQI/s400/frontil6.jpg

http://www.luisdelgado.net

Origine du Groupe : Spain
Style : World Music , Arabic Music , Ambient
Sortie : 1997

By Tom Schulte from http://www.allmusic.com

These lush echoes of Moorish Spain celebrate the sensual poetry of 11th century writer Ibn Al Zaqqiq. ("Her sash undone, later I saw her wrapped only in her perfume.") Arabic culture fuses the poet and musician into one near-sacred role. Such respect and craft is taken with these treatments of Al Zaqqiq's verses. Luis Delgado thoughtfully blends subtle electronic drones or rhythms with a diverse cornucopia of ethnic instrumentation representing the Islamic Empire from Andalusia to Persia. The seven-string Turkish lutes, known as a baglama and saz, along with other varieties, sing alongside the santur and qanun zither variations. Folk flutes from Egypt and Thrace add a beautifully exotic and nostalgic color to some tracks. Percussion comes from the pottery, wood or metal darbuka and small goblet drum of East Africa known as the dumbek. Only five of the tracks are sung, but all are based on a certain poem, if only in cadence. Standouts include an instrumental, the mysterious synthesizer and lute paean to Luna, "La Luna Nueva (The New Moon)." The sung verses are either in the incredibly versatile tenor of Mohamed El Arabi Serghini or the honeyed and moving tones of Aurora Moreno. On one selection they duet. Text translations and instrumentation are given in the booklet.

 


Tracklist :
01. Balansiya
02. El Saludo
03. La Aurora Nocturna
04. La Luna Nueva
05. Bebiendo Al Alba
06. Al Cintur¢n Y El Brazalete
07. La Luz De Axarqu¡a
08. Rosas En El Estanque
09. La Mirada
10. Amanecer En La Mar
11. La Ruta Del Marfil Negro
12. Epitafio

mp3

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